Voilà pourquoi il faut regarder la finale de la coupe Davis…

Posté par aucomptoirdesports le 3 décembre 2010

 Voilà pourquoi il faut regarder la finale de la coupe Davis... dans Ces sportifs de legende

L’histoire de la coupe Davis est trustée de scénarios plus qu’improbables. Qui aurait parier un euro sur l’équipe d’Espagne en 2008 qui se déplace sans Nadal en Argentine pour Affronter Del Potro et Nalbandian ? Il y a des moments qui marquent tous les passionnés de sport et la finale de la Coupe Davis en Décembre 1991 face au Team USA fait partie de ceux-là.

En effet, c’est la première fois que j’ai vibré pour un match de tennis… et pour cause, puisque je l’ai vécu en écoutant ma radio (privé de télévision à cause des résultats scolaires). La ferveur du public, l’engouement des commentateurs, tout me montrait que j’étais en train de rater un de ces grands moments du sport français. Le capitaine Yannick Noah s’appuie alors sur Guy forget n°5 mondial tout juste vainqueur de Paris Bercy et ce vieux briscard d’Henri Leconte. A la lecture de la composition d’équipe, personne ne donne une chance à nos tennismen français face à l’armada américaine emmenée par Agassi et Sampras et pourtant l’improbable se produit et c’est toute la France qui se met à chanter d’une seule voix « Saga africa ». Tout simplement ENORME ! Quelque part, ce furent les prémices de 1998, avec ce grand métisse en chef de meute qui devient le symbole de la France qui gagne… J’en ai encore des frissons…

Alors cette année je vais encore regarder et encourager cette équipe de France à qui on ne donne pas beaucoup de chance de l’emporter en Serbie car la Coupe Davis est vraiment le symbole du rassemblement. Peut-être les joueurs touchent ils des primes ? Mais ça on n’en sait rien. A l’heure où l’on parle d’esprit d’équipe, d’ouverture, de solidarité, il est agréable de se tourner vers ce sport individuel qui mêle tant d’égos. 

Que le meilleur gagne !

 

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Camille Pin : Une niçoise qui en veut ..

Posté par aucomptoirdesports le 24 novembre 2010

 

Camille Pin : Une niçoise qui en veut .. dans Rencontres avec le Haut Niveau camillepin
Camille Pin est une ex joueuse de tennis qui a passé une dizaine d’années dans le top 100 mondial. Après avoir mis un terme à sa carrière en mai 2010, cette toute jeune retraitée (29 ans) n’en demeure pas moins très active en dehors des courts. Avec elle, nous revenons sur son parcours et le tennis français en général.

Est ce que ça te manque ?

Bizarrement pas du tout ! Même quand je vois les autres jouer alors qu’avant la compétition était mon moteur. Mais, j’ai tellement donné physiquement et mentalement pendant 15 ans que j’ai envie de décompresser.

Qu’est ce qui t’a amené au tennis ?

J’ai eu la chance d’avoir une famille qui jouait énormément en loisir. A 5 ans, j’avais déjà une raquette dans la main. Et je suis entré en club à l’âge de 8 ans et ça s’est enchaîné très vite puisqu’à 12 ans j’étais déjà en équipe de France.

Tu savais déjà que tu voulais être professionnelle ?

Ah non ! Moi ce qui m’importait c’était de faire ma carrière et d’évoluer sereinement en marge avec une structure privée.

Justement peux tu nous parler du Lagardère Paris Racing ?

Quand ils m’ont présenté leur projet, je n’ai pas hésité une seconde. En arrivant sur Paris, j’ai découvert une structure très pro avec des méthodes très poussées. Par exemple, on subissait des tests salivaires pour mesurer notre taux de fatigue et notre capacité à encaisser certaines séances. Et puis nous étions mélangés avec des athlètes d’autres sports. Il y régnait vraiment une ambiance extraordinaire. L’expérience s’est arrêtée récemment. Pour ma part, je pense qu’ils ont donné trop de moyens sur une courte période. Là on passe de tout à rien et c’est dommage. Mais Lagardère est toujours présent dans le management.

Combien de coachs ont compté dans ta carrière ?

J’ai toujours ressenti le besoin de sentir que l’on croyait en moi d’où l’importance de la structure privée. De 5 à 17 ans je suis restée à Nice avec le même entraîneur mais il n’a pas pu me suivre lorsque j’ai commencé à faire quelques grands déplacements. Et c’est Eric Brémont qui a pris la relève. Je suis resté avec lui pendant 8 ans au cours desquels je suis passé de la 500è place à la 60è. Et j’ai rejoint le Lagardère Paris Racing pour les 3 dernières années de ma carrière.

Que t’a apporté Eric Brémont ?

Bien sûr, il m’a fait passé des caps techniquement mais il m’a aussi apporté  plus de précision dans ce que je faisais, privilégier la qualité à la quantité. A 17 ans j’étais motivée et je voulais en faire des tonnes mais je travaillais mal. En ce sens il m’a fait comprendre qu’il valait mieux parfois une journée de repos à 5H de travail non stop. Et puis on a partagé pas mal de moments difficiles…

Quels sont les pires souvenirs de ta carrière ?

Comme dans la vie, il y a beaucoup de bas parce que tu as beau faire un super match la veille, mais si le lendemain tu te rates, cela suffit pour perdre confiance. C’est la particularité du tennis. On joue toutes les semaines et il est par conséquent impossible de gagner tout le temps. Il faut savoir gérer l’échec. Ces moments sont difficiles parce qu’on est seul, on est loin…

Ton coach ne te suivait pas ?

Non, pas tout le temps car déjà cela coûte très cher et en plus il avait une autre joueuse en charge donc on se le partageait. Il arrivait donc que je fasse une tournée US de 4 semaines pendant qu’elle était en Europe donc il ne pouvait pas nous suivre.

Pas évident de trouver la motivation dans ces moments là ?

Je ne parlerai pas de motivation car on a toujours envie ! Mais j’insisterai plus sur le fait d’aider à tenir dans la difficulté du moment. Ce qui est dur c’est de s’impliquer totalement physiquement, mentalement et financièrement et de voir qu’il n’y a pas de résultats. Tu fais des sacrifices en passant à côté de moments importants avec tes proches. C’est là que c’est dur.

Avec le recul, tu ne te dis pas que tu aurais été meilleure si tu avais fait d’autres choix ?

Bien sûr, mais c’est l’autre particularité du tennis. Que je m’entraîne avec X ou Y, au final c’est moi qui décide de me rendre sur tel ou tel tournoi. Valait il mieux que je me repose quitte à perdre les points acquis sur un tournoi ou que j’aille les défendre coûte que coûte ? C’est donc une prise de tête permanente.

Tu comptes des sélections en Fed Cup ?

Non, c’est l’un des immense regrets de ma carrière mais je suis tombé dans une période où le tennis féminin français était au top. Pourtant, j’étais prête. Je rêvais pourtant de porter le survêtement de l’équipe de France même pour m’asseoir sur le banc… Pareil pour les Jeux de Pékin où je suis dans la forme de ma vie et où Golovin tergiverse longtemps avant de déclarer forfait. Trop tard pour que l’on me donne ma chance… Je ne comprends pourquoi les joueurs se posent tant de questions quant à leur participation à cet évènement planétaire qui réunit toutes les disciplines une fois tous les 4 ans.Alors qu’un grand chelem, c’est tous les ans. Mais c’est parce que j’ai été très proche d’y aller que c’est si difficile à accepter. Mais j’aurai mérité de participer à ces deux aventures.

Tu as quand même vécu de bons moments ?

Toute la période où j’étais dans le top 60 ( 2007-2008) et où je jouais le tableau final  de chaque grand tournoi et où j’affrontais des joueuses du top 10. Dans ces moments, tout prend un sens et tu te dis que ça valait le coup d’en baver car tu n’es pas arrivée là du jour au lendemain.  C’était une revanche par rapport à tous les gens qui ne croyaient pas en moi.

Et puis il y a eu  ce fameux match contre Sharapova (Melbourne 2007, menée 5-0 dans le dernier set, elle s’incline finalement 9-7)

Oui effectivement, je pensais que j’allai avoir peur de jouer sur ce gros court mais ce fut vraiment fabuleux. Et dans ce match, il y a tout eu, suspense, ambiance de folie, chaleur étouffante  (41°C). Cela a duré plus de 3H. J’aurai aimé gagné mais je suis tellement allé au bout de moi-même que je n’ai pas de regrets.

Qu’est ce que tu réponds aux gens qui disent que le niveau du tennis féminin français est vraiment faible ?

Je suis plutôt d’un naturel optimiste mais c’est vrai que là, on observe une certaine désertion chez les  jeunes. Avant, il y avait au moins 2 ou  3 filles qui dominaient leur catégorie d’âge, aujourd’hui, c’est un peu plus problématique. Quand j’étais n°60 à la WTA, je n’étais que la 8è française… Aujourd’hui la donne est différente. Est ce que c’est lié à un problème de formation ? Difficile pour moi de répondre à cette question dans la mesure où je suis dans le circuit pro depuis longtemps. En revanche, je pense que c’est tout simplement un phénomène de société.

Ton expérience de capitaine du L.P.R (Lagardère Paris Racing) aux interclubs te donne t’elle des envies de coaching ?

Pas du tout !! Être capitaine est une belle expérience. J’essaie de booster, rassurer les filles comme N.Tauziat l’avait fait avec moi avant. Mais aujourd’hui, ma priorité c’est ma reconversion professionnelle liée marketing sportif. Je vais commencer un Master à l’ESSEC en alternance avec Lacoste (mon équipementier depuis plus de 10 ans). A part ça, je suis consultante pour Canal plus, j’ai réalisé quelques plateaux pour InfoSport et je réaliserai quelques chroniques pour L’Equipe.

Depuis ta retraite de sportive, tu n’as donc pas eu de temps mort ?

Non, mais je m’en suis donné les moyens ! Ma carrière m’a montré que rien ne tombait du ciel et  qu’il fallait s’impliquer pour aller de l’avant.

Un petit mot de la consultante sur la finale de la coupe Davis

Je suis très sceptique car ayant joué dans les pays de l’Est, je sais que l’atmosphère peut y être particulièrement détestable. Et   les français aiment bien jouer avec le public mais quand il est positif. Le côté psychologique sera très important. Avec G.Monfils, c’est du quitte ou double. Je m’en fais moins pour Mika qui m’a l’air d’avoir plus de recul et de maturité pour gérer ce type d’évènements.

Un grand merci à Camille Pin pour cet entretien

Pour le plaisir petite vidéo  de Melbourne où elle a failli faire craquer Sharapova

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Gasquet, l’immature…

Posté par aucomptoirdesports le 15 janvier 2010

Gasquet

« C’est sûr Richard est immature. A 23 ans, il se plaint comme un gamin à ses parents. Même quand il fait un truc bien, comme sauver une balle de break, il accentue le fait après coup, du genre :  » il fallait le faire ! » comme un enfant en fait… ».(L’Equipe du 05/01/10)

Ses paroles sont celles de Guillaume Peyre, ex coach de Richard Gasquet, certainement encore meurtri de s’être fait « volé » son poulain par Eric Deblicker. Nous ne sommes pas loin d’abonder en son sens lorsque l’on entend le jeune bittérois déclarer « S’il n’y avait pas eu cette affaire, j’en aurai fait des demi-finales  ! ». Facile… Tout autant que le sont les derniers tournois auxquels il vient de participer. Mais nous rappellerons juste à Monsieur Gasquet, que ce que le public français lui demande, c’est gagner !

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Le pari de la défaite ?

Posté par aucomptoirdesports le 23 octobre 2009

Le pari de la défaite ? dans tennis 250px-Caroline_Wozniacki_-_Nordic_Light_Open_Stockholm_2008

Unibet, Bwin, Betclic, Betfair autant de sites qui permettent de parier en ligne sur les matchs les scores, les buteurs voire même ceux qui vont se prendre un carton jaune… Autant dire qu’il y a pas mal d’argent à gagner, mais aussi à perdre ! Et comme partout où il y a de l’argent « facile » à se faire, les magouilles ne sont pas très loin.

En mai 2008, les instances du tennis ont révélé que pas moins de 45 matchs professionnels sur les 5 dernières années allaient faire l’objet d’une enquête approfondie. Nikolaï Davydenko a d’ailleurs été impliqué dans une affaire qui aurait suscité des paris suspects. Le russe avait avoué à l’époque avoir parlé à sa femme sur le court en lui disant qu’il allait peut-être abandonné la rencontre qu’il disputait face à Benjamin Becker au premier tour de Wimbledon (défaite en 3 sets) et vous connaissez la suite… Aujourdhui, c’est Caroline Wozniacki, l’étoile montante du tennis danois qui pourrait être impliquée après une défaite pour le moins étrange. Alors qu’elle menait 7-5/5-0, elle a abandonné après que son père lui ait conseillé d’arrêter à …. 3-0. A ce moment précis les paris se sont tournés en faveur de son adversaire du jour, Anne Kremer. Bizarre, non ?

A une autre époque, on aurait peut-être parlé du bon sens paternel. Aujourd’hui, cette affaire risque un peu plus de ternir l’image du tennis. Heureusement, d’autres sports comme l’athlétisme ne sont pas gangrénés par les paris en ligne grâce notamment à une fédération internationale qui a mis son véto alors que beaucoup de managers véreux sont aux aguets…

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Quand Serena Williams pète les plombs …

Posté par aucomptoirdesports le 13 septembre 2009

« I would kill you ? Are you sérious ? »

Voici les derniers mots de Serena Williams envers le corps arbitral à l’US open. En effet, après avoir été pénalisée d’une double faute (sur une faute de pied) qui a occasionné une balle de match, elle s’en est pris à la juge arbitre qui a de suite rapporté ces propos à l’arbitre principal. Sanction immédiate, faute technique. Serena a beau se défendre, ce point de pénalité offre la victoire à son adversaire du jour Kim Clijsters qui n’en attendait pas tant. Retour sur images…

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Djokovic-MacEnroe : le duel !

Posté par aucomptoirdesports le 9 septembre 2009

A l’issue de sa victoire en 1/8è de finale face à Stepanek, Novak Djokovic a gratifié le public New-Yorkais d’imitations de John McEnroe qui est descendu le défier. Espérons pour lui que ses facéties le libèrent et le mènent jusqu’à la marche ultime. Extrait…

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LA PHRASE DU JOUR …

Posté par aucomptoirdesports le 15 juillet 2009

LA PHRASE DU JOUR ... dans tennis gasquet_celebrate_d

« Il aurait été injuste et disproportionné d’imposer une sanction de douze mois à Gasquet. Il a été décidé de le suspendre pour une période de 2 mois et 15 jours commençant le 1er mai et se terminant donc à 10h le 15 juillet ».

a indiqué l’I.T.F

Le TEAM Gasquet a donc réussi son opération communication puisque l’I.T.F a validé la version du joueur, à savoir une prise de cocaïne à son insu… Belle preuve de clémence de la part de la fédération internationale. Le joueur est décidé à reprendre le chemin des courts le plus rapidement possible, car « ça été terrible…une souffrance inouïe. Ce que je retiens ? Que je peux jouer au tennis ! Je veux retrouver le top 10. » (Gasquet au J.T de France 2)

Manque plus qu’à retrouver la ligne pour faire taire tous les médisants …

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Quand Söderling se joue de Nadal…

Posté par aucomptoirdesports le 5 juin 2009

Le suédois Robin Söderling joue aujourdhui en demi-finale de Roland Garos face à Fernando Gonzalez. Mais s’il est sorti de l’anonymat lors de cette quinzaine, c’est bien en éliminant Raphael Nadal en 1/8ème de finale.

Rapha était dans une colère noire. Est ce le fait d’avoir chuté pour la première fois depuis 4 ans à Paris où alors d’avoir perdu contre un joueur qui s’était ouvertement moqué de lui lors du dernier Wimbledon ?

Extrait …

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Richard Gasquet, une ligne de trop ?

Posté par aucomptoirdesports le 11 mai 2009

 Richard Gasquet, une ligne de trop ? dans tennis gasquet1

Richard Gasquet a été contrôlé positif à la cocaïne. Le petit « prodige » annoncé du tennis français a donc été pris la main dans le sac. Il risque une suspension de 2 ans mais il va plaider la bonne foi après une avoir fait une analyse de ses tissus capillaires pour prouver que ce n’était qu’occasionnel et fait à  »l’insu de son plein gré ».

Pourquoi tant de sympathie ?

Peu importent les raisons de ce fiasco humain et sportif, ce qui est le plus incroyable dans cette affaire, c’est de voir le nombre de personnes qui se sont prononcées en faveur du petit génie (qui n’a toujours rien gagné de significatif…), du président de la FFT Jean Gachassin aux autres joueurs Llodra, Santoro ou encore Cornet. Si cela avait été le cas d’Usain Bolt, se soucierait-on de savoir si la prise était involontaire et dans le cadre d’une soirée ?  Cela fait donc si mal de voir que ce narbonnais élevé dans le 16ème arrondissement de Paris puisse avoir fauté ! Pourquoi nie t’on l’évidence à ce point ? Dans l’émission du Moscato Show sur RMC, le débat était « Faut-il pardonner à Richard Gasquet ? ». La question méritait-elle d’être posée ? Amélie Mauresmo et Mickael Llodra ont déclaré qu’il existait une vraie psychose (peur de prendre quelque chose à leur insu) parmi les joueurs de tennis lorsqu’ils étaient en soirée. Si Amélie le dit… Il faudra alors m’expliquer  pourquoi tout le monde rigole lorsque Justin Gatlin, champion olympique à Athènes, crie au complot après avoir été contrôlé positif (8 ans de suspension).

Une drogue qui a des vertus dopantes

Personne ne doit oublier que la cocaïne est une drogue dure qui n’a pas que des vertus festives. C’est une drogue qui provoque une euphorie, un sentiment de toute puissance intellectuelle et physique, une amélioration des réflexes et une indifférence à la douleur ou à la fatigue. Quelques portifs ont purgé un bon nombre de mois de suspension après la prise de cette drogue, Maradona (15 mois), Mutu (7mois), Sotomayor (12mois). 

Quand on pense qu’en football, Sepp Blatter milite pour que les joueurs ne soient pas localisables toute l’année… Quoiqu’il arrive, il sera difficile pour Richard Gasquet de se remettre sur les bons rails…

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Un pour tous… Tous pour un !

Posté par aucomptoirdesports le 6 mars 2009

 Gilles Simon Tsonga Gasquet Llodra

 Vendredi, simples : Berdych-Simon puis Stepanek-Tsonga

Samedi, double : Dlouhy-Hernych/Gasquet-Llodra

Dimanche, simples : Tsonga-Berdych puis Simon-Stepanek

Ce vendredi, débute la coupe Davis avec probablement la meilleure sélection depuis l’époque des mousquetaires nous dit-on.  Simon, Tsonga, Monfils, Gasquet, et Llodra ont rendu la tâche difficile à l’heure du choix pour Guy Forget. Mais quel entraîneur n’aime pas être confronté à ces problèmes de riches. Finalement, c’est Gael Monfils qui avait pourtant très envie de jouer qui reste à quai, pour cause d’arrivée tardive(finale à Acapulco, oblige !) lors du rassemblement. Il est loin, le temps où Richard Gasquet, portable en main, faisait la Une des journaux  pris en flagrant délit de désintérêt pour cette épreuve par équipe. Tous répètent à l’unisson qu’ils sont contents de partager cette expérience entre potes. Simon : « Etre prêt à tout donner pour les autres, être à leur service en permanence, que ce soit dans les bons ou mauvais moments… ». Pour Gasquet : « Moi, je suis partant pour tout. Etre n°5, jouer le double, jouer plus ou ramasser les serviettes…. ».

Le moral est donc au beau fixe au sein des troupes françaises. Mais Guy Forget le rappelle très bien « Je n’ai jamais eu dans l’équipe des joueurs aussi inexpérimentés qui soient aussi forts… ». L’effet coupe Davis peut être dévastateur. Récemment, l’Argentine ultra-favorite à domicile ne s’est-elle pas inclinée face à une Espagne privée de Nadal. Plus loin encore, Paul-Henri Matthieu qui venait de remporter 2 tournois (çà vous rappelle quelqu’un) avait connu une première sélection contre la Russie mouvementée puisqu’il s’était écroulé face à Youznhy (provoquant la défaite de l’équipe de France) et n’est jamais parvenu à retrouver cette insouciance qui l’avait propulsé à ce niveau.

L’ambiance est au beau fixe et l’optimisme est de rigueur mais prudence car en coupe Davis rien n’est écrit d’avance…

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