Quand Lebron bouscule son coach…

Sous prétexte que l’on a à faire au meilleur joueur de Basket du moment, doit-on accepter ce genre de comportements ? Sur le Comptoir, la question ne se pose même pas ! Ce n’est pas avec ce genre d’attitude qu’il légitime sa position de meilleur joueur du monde…

Gourcuff : Délit de belle gueule ?

Souvenez vous juin 2010, dernier match de poule du mondial, Afrique du Sud – France : Yoann Gourcuff quitte cette piteuse coupe du monde la tête basse, sur un carton rouge.

On sait alors que les rapports sont très tendus avec certains de ses coéquipiers dont Franck Ribéry qui lui reprocherait son look trop soigné et son profil « gendre idéal ». S’en suivit un lynchage médiatique stigmatisant la France des banlieues avec ses racailles et ses petits caïds. L’enfant prodige, 18è ex futur Zidane, devint alors l’enfant martyr de tout un pays. Le « pauvre » a très mal vécu cet épisode et a le blues. Entre temps, le bougre  a changé de club à 2 jours de la fin du mercato laissant les girondins sans même se retourner. Un procédé qui rappela étrangement son départ de Rennes vers le Milan AC. Grande classe…

Le Milan AC, parlons en justement, où plutôt laissons en le soin à cet illustre joueur qu’est Paolo Maldini. « Il s’est passé beaucoup de choses. Des choses qu’il n’est pas possible de raconter. Mais lui, il sait ce qu’il a fait. »(L’Equipe du 26/11/10) Et Carlo Ancelotti (désormais entraîneur de Chelsea) qui en rajoute une couche en disant de lui qu’il était « fou et égocentrique ». Ça c’est fait… Bien sûr, le joueur était jeune et découvrait un nouvel environnement qui plus est à l’étranger. Mais voilà une nouvelle facette que le public ne connaissait pas et qui était masquée par de belles performances.

Quel constat ? L’image de ce beau gosse de footballeur est forcément écornée étant donné le pédigré de ses détracteurs. Il traîne un certain blues depuis plus d’un an maintenant. Même si depuis quelques temps, on nous parle de la montée en puissance de ce joueur. Cette embellie est stoppée par une nouvelle blessure…  Comme d’autres jeunes icônes du football français avant lui (Ribéry, Ben Arfa, Benzema…) Yoann Gourcuff a été érigé au rang de star avant de connaître une terrible désillusion. Espérons pour lui que ce ne soit pas le début d’une longue descente aux enfers et d’un retour à l’anonymat…

Mais sur le Comptoir, ce qui interpelle le plus, c’est qu’il y a eu une première interview de Paolo Maldini quelques jours avant dans le même journal où il n’est aucunement question du joueur lyonnais et que 2 jours après le match catastrophique de Shalke et surtout la blessure de Yoann Gourcuff, on nous déballe le reste des propos de Maldini, histoire d’enfoncer un peu plus le clou.

Alors à qui profite le crime ?

Camille Pin : Une niçoise qui en veut ..

 

Camille Pin est une ex joueuse de tennis qui a passé une dizaine d’années dans le top 100 mondial. Après avoir mis un terme à sa carrière en mai 2010, cette toute jeune retraitée (29 ans) n’en demeure pas moins très active en dehors des courts. Avec elle, nous revenons sur son parcours et le tennis français en général.

Est ce que ça te manque ?

Bizarrement pas du tout ! Même quand je vois les autres jouer alors qu’avant la compétition était mon moteur. Mais, j’ai tellement donné physiquement et mentalement pendant 15 ans que j’ai envie de décompresser.

Qu’est ce qui t’a amené au tennis ?

J’ai eu la chance d’avoir une famille qui jouait énormément en loisir. A 5 ans, j’avais déjà une raquette dans la main. Et je suis entré en club à l’âge de 8 ans et ça s’est enchaîné très vite puisqu’à 12 ans j’étais déjà en équipe de France.

Tu savais déjà que tu voulais être professionnelle ?

Ah non ! Moi ce qui m’importait c’était de faire ma carrière et d’évoluer sereinement en marge avec une structure privée.

Justement peux tu nous parler du Lagardère Paris Racing ?

Quand ils m’ont présenté leur projet, je n’ai pas hésité une seconde. En arrivant sur Paris, j’ai découvert une structure très pro avec des méthodes très poussées. Par exemple, on subissait des tests salivaires pour mesurer notre taux de fatigue et notre capacité à encaisser certaines séances. Et puis nous étions mélangés avec des athlètes d’autres sports. Il y régnait vraiment une ambiance extraordinaire. L’expérience s’est arrêtée récemment. Pour ma part, je pense qu’ils ont donné trop de moyens sur une courte période. Là on passe de tout à rien et c’est dommage. Mais Lagardère est toujours présent dans le management.

Combien de coachs ont compté dans ta carrière ?

J’ai toujours ressenti le besoin de sentir que l’on croyait en moi d’où l’importance de la structure privée. De 5 à 17 ans je suis restée à Nice avec le même entraîneur mais il n’a pas pu me suivre lorsque j’ai commencé à faire quelques grands déplacements. Et c’est Eric Brémont qui a pris la relève. Je suis resté avec lui pendant 8 ans au cours desquels je suis passé de la 500è place à la 60è. Et j’ai rejoint le Lagardère Paris Racing pour les 3 dernières années de ma carrière.

Que t’a apporté Eric Brémont ?

Bien sûr, il m’a fait passé des caps techniquement mais il m’a aussi apporté  plus de précision dans ce que je faisais, privilégier la qualité à la quantité. A 17 ans j’étais motivée et je voulais en faire des tonnes mais je travaillais mal. En ce sens il m’a fait comprendre qu’il valait mieux parfois une journée de repos à 5H de travail non stop. Et puis on a partagé pas mal de moments difficiles…

Quels sont les pires souvenirs de ta carrière ?

Comme dans la vie, il y a beaucoup de bas parce que tu as beau faire un super match la veille, mais si le lendemain tu te rates, cela suffit pour perdre confiance. C’est la particularité du tennis. On joue toutes les semaines et il est par conséquent impossible de gagner tout le temps. Il faut savoir gérer l’échec. Ces moments sont difficiles parce qu’on est seul, on est loin…

Ton coach ne te suivait pas ?

Non, pas tout le temps car déjà cela coûte très cher et en plus il avait une autre joueuse en charge donc on se le partageait. Il arrivait donc que je fasse une tournée US de 4 semaines pendant qu’elle était en Europe donc il ne pouvait pas nous suivre.

Pas évident de trouver la motivation dans ces moments là ?

Je ne parlerai pas de motivation car on a toujours envie ! Mais j’insisterai plus sur le fait d’aider à tenir dans la difficulté du moment. Ce qui est dur c’est de s’impliquer totalement physiquement, mentalement et financièrement et de voir qu’il n’y a pas de résultats. Tu fais des sacrifices en passant à côté de moments importants avec tes proches. C’est là que c’est dur.

Avec le recul, tu ne te dis pas que tu aurais été meilleure si tu avais fait d’autres choix ?

Bien sûr, mais c’est l’autre particularité du tennis. Que je m’entraîne avec X ou Y, au final c’est moi qui décide de me rendre sur tel ou tel tournoi. Valait il mieux que je me repose quitte à perdre les points acquis sur un tournoi ou que j’aille les défendre coûte que coûte ? C’est donc une prise de tête permanente.

Tu comptes des sélections en Fed Cup ?

Non, c’est l’un des immense regrets de ma carrière mais je suis tombé dans une période où le tennis féminin français était au top. Pourtant, j’étais prête. Je rêvais pourtant de porter le survêtement de l’équipe de France même pour m’asseoir sur le banc… Pareil pour les Jeux de Pékin où je suis dans la forme de ma vie et où Golovin tergiverse longtemps avant de déclarer forfait. Trop tard pour que l’on me donne ma chance… Je ne comprends pourquoi les joueurs se posent tant de questions quant à leur participation à cet évènement planétaire qui réunit toutes les disciplines une fois tous les 4 ans.Alors qu’un grand chelem, c’est tous les ans. Mais c’est parce que j’ai été très proche d’y aller que c’est si difficile à accepter. Mais j’aurai mérité de participer à ces deux aventures.

Tu as quand même vécu de bons moments ?

Toute la période où j’étais dans le top 60 ( 2007-2008) et où je jouais le tableau final  de chaque grand tournoi et où j’affrontais des joueuses du top 10. Dans ces moments, tout prend un sens et tu te dis que ça valait le coup d’en baver car tu n’es pas arrivée là du jour au lendemain.  C’était une revanche par rapport à tous les gens qui ne croyaient pas en moi.

Et puis il y a eu  ce fameux match contre Sharapova (Melbourne 2007, menée 5-0 dans le dernier set, elle s’incline finalement 9-7)

Oui effectivement, je pensais que j’allai avoir peur de jouer sur ce gros court mais ce fut vraiment fabuleux. Et dans ce match, il y a tout eu, suspense, ambiance de folie, chaleur étouffante  (41°C). Cela a duré plus de 3H. J’aurai aimé gagné mais je suis tellement allé au bout de moi-même que je n’ai pas de regrets.

Qu’est ce que tu réponds aux gens qui disent que le niveau du tennis féminin français est vraiment faible ?

Je suis plutôt d’un naturel optimiste mais c’est vrai que là, on observe une certaine désertion chez les  jeunes. Avant, il y avait au moins 2 ou  3 filles qui dominaient leur catégorie d’âge, aujourd’hui, c’est un peu plus problématique. Quand j’étais n°60 à la WTA, je n’étais que la 8è française… Aujourd’hui la donne est différente. Est ce que c’est lié à un problème de formation ? Difficile pour moi de répondre à cette question dans la mesure où je suis dans le circuit pro depuis longtemps. En revanche, je pense que c’est tout simplement un phénomène de société.

Ton expérience de capitaine du L.P.R (Lagardère Paris Racing) aux interclubs te donne t’elle des envies de coaching ?

Pas du tout !! Être capitaine est une belle expérience. J’essaie de booster, rassurer les filles comme N.Tauziat l’avait fait avec moi avant. Mais aujourd’hui, ma priorité c’est ma reconversion professionnelle liée marketing sportif. Je vais commencer un Master à l’ESSEC en alternance avec Lacoste (mon équipementier depuis plus de 10 ans). A part ça, je suis consultante pour Canal plus, j’ai réalisé quelques plateaux pour InfoSport et je réaliserai quelques chroniques pour L’Equipe.

Depuis ta retraite de sportive, tu n’as donc pas eu de temps mort ?

Non, mais je m’en suis donné les moyens ! Ma carrière m’a montré que rien ne tombait du ciel et  qu’il fallait s’impliquer pour aller de l’avant.

Un petit mot de la consultante sur la finale de la coupe Davis

Je suis très sceptique car ayant joué dans les pays de l’Est, je sais que l’atmosphère peut y être particulièrement détestable. Et   les français aiment bien jouer avec le public mais quand il est positif. Le côté psychologique sera très important. Avec G.Monfils, c’est du quitte ou double. Je m’en fais moins pour Mika qui m’a l’air d’avoir plus de recul et de maturité pour gérer ce type d’évènements.

Un grand merci à Camille Pin pour cet entretien

Pour le plaisir petite vidéo  de Melbourne où elle a failli faire craquer Sharapova

Nasri a la rancune tenace…

Ces sportifs de légende (1) : Ronaldo il Fenomeno

Nouvelle rubrique sur le Comptoir pour se rappeler de ces sportifs de légende qui ont marqué par leur seul talent des générations entières.

Commençons par Ronaldo. Malgré des exploits bien sentis au PSV Eindhoven (soulier d’or européen) c’est d’abord à Barcelone puis à l’Inter et enfin au Real Madrid que Ronaldo s’est vraiment épanoui. Quand on parle de sportif de légende, on a tous une image, une action, un but qui ressort. En ce qui le concerne, j’aurai pu évoqué une de ses nombreuses chevauchées sous le maillot blaugrana ponctuées par des buts sublimes mais pour ce fantastique joueur je garde en mémoire 3 moments clés.

Finale de la Coupe UEFA 1998

Lors de cette finale 100% italienne qui s’est jouée au Parc des Princes, Ronaldo va frapper très fort sous le maillot de l’Inter en inscrivant un but superbe dont lui seul à le secret (double feinte à pleine vitesse). D’ailleurs, J-M Larqué déclara ce jour là que 7 attaquants sur 10 loupaient ce genre de face à face devant le gardien. Mais c’est un autre geste technique qui m’a bluffé lors de cette finale. : L’élastique (mais Zidane en parle mieux que moi dans la vidéo plus bas…)

Sa deuxième blessure grave

Le 12 avril 2000, il dispute la finale de la coupe d’Italie après plus de 5 mois d’indisponibilité. Quand à la 65è minute, il s’effondre en hurlant de douleur face à un genou récalcitrant, c’est tout le monde du football qui est en peine craignant de perdre l’une des plus belles étoiles qu’il n’ait jamais produites.

Au Real, la rédemption

En arrivant au Real en 2002, il rejoint les galactiques Zidane et Figo. Il n’a déjà plus la silhouette d’antan et beaucoup doutent de son adaptation sous le maillot merengue. Il fait taire toutes les critiques dès ses premières minutes à Madrid. Mais  c’est son triplé magnifique inscrit en 1/4 de finale de la champion’s league à Old Trafford dans un match d’anthologie perdu 4-3 face à Manchester United.

Alors aujourd’hui, il a pris ses distances avec le football de très haut niveau quelque peu éclipsé par les 2 phénomènes du moment que sont Cristiano Ronaldo et Lionel Messi. Mais lequel de ces deux là peut se vanter d’avoir un palmarès aussi étoffé en club qu’en sélection ?

Cholet is in the place !

Hier soir c’est la rencontre amicale de football entre les bleus et une très faible équipe d’Angleterre qui tenait toute la France en émoi. Et pourtant, ce n’est pas à Wembley qu’il fallait être mais bien à Cholet ! 

En dominant la seule équipe encore invaincue en euroligue, Fenerbahçe, les choletais ont assuré une 3ème victoire d’affilée dans la plus prestigieuse des compétitions européennes de basket. Si tous les joueurs sont à féliciter pour leur agressivité défensive, il ne faut pas oublier Erman Kunter, le coach, qui a su galvaniser ses troupes et alterner les systèmes défensifs qui ont rendu complètement dingues les joueurs de Neven Spahija. Le top 16 n’est plus très loin pour Cholet…

ZAPPING SPORT WEEKEND (23)

Ce weekend, il y en avait pour tous les goûts…

TENNIS, Masters 1000 de Bercy,Le tournoi parisien sourit toujours autant à nos frenchies, Llodra qui tombe en demi-finale face au futur vainqueur R.Söderling et Monfils qui échoue une nouvelle fois dans la quête du titre après avoir fait tomber Federer. De très bon augure à 2 semaines de la finale de la coupe Davis et un véritable casse tête en perspective pour Guy Forget…

FORMULE 1, Grand Prix d’Abhu Dabi, Les bookmakers misaient d’avantage sur F.Alonso ou Mark Webber mais c’est finalement Sebastian Vettel qui a tiré son épingle du jeu et qui devient à tout juste 23 ans le nouveau champion du monde de F1 au volant de sa Red Bull. Inutile de dire que la prochaine saison s’annonce palpitante. Hamilton et consorts auront à coeur de prendre leur revanche…

FOOTBALL, Ligue 1, L’arbitrage au centre de toutes les polémiques après Bordeaux-Nancy et la validation d’un but imaginaire entaché d’une flagrante faute de main. L’assistant a vu la main mais a pensé qu’elle avait été faite après le but. Seul problème, le ballon n’est jamais rentré dans le but…

ESCRIME, Mondiaux de Paris, L’organisation de ces championnats au Grand Palais a été un vrai succès populaire (55000 spectateurs ont assisté aux exploits de nos sabreurs, épéistes et fleurettistes). Parmi les 5 médailles, celles de Nisima et de l’équipe masculine d’épée auront ravi la foule. On peut cependant regretter que les médias n’aient pas plus relayé les résultats de l’escrime handisport (1ère nation avec 11 médailles) malgré la fenêtre télévisuelle qui lui était octroyée…

BASKET, NBA, nos frenchies Parker, Batum et Noah flambent sur les parquets. Mais oùest passé notre jeune prodige Kévin Séraphin ?

A part ça, Benzema a failli marqué, la ligue 1 n’avance pas (le leader brestois compte seulement 22 points après 13 journées) et  Chantal Jouannot est la nouvelle ministre des Sports…

Enorme Raymond !!

« Il faut savoir tout quitter pour se relever… » . La dernière provoc’ de Raymond…

Quelle ambiance au Parc ce soir ?

Le plan Leproux « Tous PSG » inaugure ce soir son premier PSG-OM. Alors que sur le terrain, l’affiche pourrait tenir toutes ses promesses avec deux équipes qui reviennent peu à peu au top de la forme, quelle sera l’ambiance dans les tribunes du Parc des Princes ?

On ne peut qu’être d’accord avec Gabriel Heinze lorsqu’il déclare que « ce sont les supporters qui font le classico ». Mais ce soir entre des parisiens qui boycottent leur stade et des marseillais qui n’ont pas le droit de monter dans la capitale,  on risque d’avantage d’assister à une version « lounge » des précédentes rencontres.

Les abonnés continuent leur action anti-Leproux. Dans un communiqué, ils déclaraient récemment » ne pas boycotter le match mais seulement le Parc ». Super…  Leurs revendications (retour des abonnements dans leurs tribunes) sont toujours à l’ordre du jour.  Et c’est bien dommage… A croire que ces milliers d’abonnés s’octroient l’exclusivité du PSG. D’ailleurs, les plus jeunes d’entre eux n’ont pas connu l’époque où le PSG devenait champion  avec des affluences moyennes de 20000 spectateurs… Ces mêmes supporters n’ignorent pas non plus que beaucoup d’inconditionnels du PSG ont résilié leur abonnement à cause du climat délétère qui régnait autour du Parc à chaque rencontre. Leproux a eu le courage de prendre des décisions comme personne avant lui. Alors, réfléchissez  messieurs les boycotteurs mais Paris c’est grand, et le Parc affichera complet ce soir ! Preuve s’il en est que beaucoup sont prêts à emprunter cette nouvelle voie. Il serait temps de cesser cette fronde car le PSG a besoin de tous ses fans. Au Comptoir, on espère vraiment que les supporters présents ce soir donneront de la voix, sublimeront leur équipe et feront oublier ces quelques réfractaires hostiles au changement. 

Il en va ainsi de la sécurité des spectateurs mais aussi de l’image du football. C’était bien ça…

Zapping Sport Weekend (23)

Pas grand chose à se mettre sous la dent ce weekend mais quand même…

Football, Ligue 1, Paris a failli surprendre son monde en saisissant l’occasion qui lui était offerte de monter sur le podium du championnat. Heureusement, on ne change pas les bonnes vielles habitudes bien aidée  en cela par une doublette d’attaquants qui au lieu d’affoler les défenses de la Ligue Un désespère de plus en plus ses supporters. Imaginez, depuis le début de saison Erding et Hoarau n’ont inscrit que 5 buts à eux deux en 10 matchs !!! C’est triste…

Tennis, ATP de Montpellier , En réunissant pour sa première édition Lubjicic, Nieminen, Davydenko, Tsonga, Simon, Isner et Monfils, la direction du tournoi a fait très fort. Le pari a été d’autant plus réussi que c’est Gael Monfils qui en est sorti vainqueur et s’est affirmé comme le meilleur français du moment à un mois de la finale de la Coupe Davis.

Basket, Pro A, Après 4 journées, 6 équipes se retrouvent à égalité en tête d’un championnat plus indécis que jamais et qui ressemble à s’y méprendre à son homologue du football. Tout le monde peut battre tout le monde, la fuite des meilleurs éléments…Aussi passionnant qu’inquiétant…

Basket, NBA, Le championnat a enfin repris et nos « petits » frenchies Batum, Parker,Noah l’ont entamé de la meilleure façon qui soitavec notamment pour le dernier cité deux double-double sur les 2 premiers matchs. Enorme Jooks...

A part ça, Tony Parker a prolongé son contrat de 4ans avec San Antonio pour la modique somme de 50 Millions de dollars car « les Spurs, c’est sa maison »… Tiger Woods n’est plus numéro un mondial après 281 semaines consécutives en tête du classement…. Mauresmo courra le marathon de New York… La course de la Route du Rhum a débuté ce weekend mais citez moi 3 navigateurs qui y participent….