Qui a dit que les grands ne savaient pas bouger ?!
Posté par aucomptoirdesports le 22 février 2009
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Posté par aucomptoirdesports le 22 février 2009
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Posté par aucomptoirdesports le 21 février 2009
Bizarrement, les joueurs internationaux espoirs ont toujours eu la côte auprès des recruteurs. Pourtant l’équipe de France Espoirs n’a rien gagné depuis des lustres avec des joueurs considérés comme les meilleurs de leur génération. Il n’empêche que leur réputation a souvent été surfaite. La faute à qui, à quoi ?
A chaque mercato, les clubs de ligue 1 tentent de convaincre leurs suppoters qu’ils ont trouvé la perle rare en embauchant un international espoir. L’an dernier, le PSG a fait partie de ceux-là en recrutant Didier Digard, issu du Havre (L2), et en tentant d’enrôler Yohan Gouffran en cours de saison. Le premier a réitéré qu’il préfèrait jouer à Middelsborough (lutte pour le maintien) qu’en L1, « Je suis très bien ici. J’aime Middlesbrough. (…) Le championnat anglais est le meilleur du monde et je suis très heureux d’évoluer ici. (…) Je préfère jouer pour le maintien à Boro plutôt que d’évoluer à Lyon. C’est une grande équipe qui joue la Champion’s League mais il n’ont que deux matches difficiles à jouer dans la saison. En Angleterre, chaque match est une bataille ». Quel manque d’ambition… Après, il ne faut pas critiquer des joueurs comme Diané ou Feindouno qui partent rejoindre les pétrodollars du Qatar en assumant, eux, leurs choix. Pour Gouffran, la donne est sensiblement différente dans la mesure où l’ex meilleur joueur de L2 avec Caen, après une première bonne saison en L1, a rejoint la Gironde mais dans un rôle d’intermittent. »C’est de plus en plus dur pour moi de rentrer un quart d’heure et d’être bon… »(L’Equipe du 21 février 2009). Cette année, c’est l’OM qui a fait dans le recrutement d’espoirs en faisant signer Samassa (qui a désormais rejoint la sélection du Mali) qui a déjà reçu le surnom de « Samassacre » de la part des fans de l’OM…
La réalité, c’est que ces joueurs censés être les grands joueurs de demain sont trop vite érigés au rang de stars par les médias alors qu’ils n’ont encore rien prouvé. La formation française est peut-être surfaite et jouit d’une réputation flatteuse avec les succès des générations 84 et 87. Peut-être trop … Certes, certains comme Benzema ou ou Nasri ont été surclassés mais d’autres comme Ben Arfa, Menez sont loin d’avoir justifié tous les espoirs placés en eux. A ces derniers, on pourrait rajouter une longue liste d’espoirs déchus, Dalmat, Luccin, Meghni, Kapo, Faty, Le Tallec ….
Alors doit-on continuer faire jouer cette équipe de France espoir ?
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Posté par aucomptoirdesports le 19 février 2009
En Août dernier David Sommeil, joueur de football professionel de Valenciennes s’écroule lors d’un entraînement, victime d’un malaise cardiaque. Le joueur, fort heureusement s’en tirera après 15 jours de coma, mais sa carrière est d’ores et déjà terminée à 34 ans. La caisse primaire d’assurance maladie a conclu à un simple arrêt maladie privant le joueur et sa famille des idemnisations plus importantes que lui auraient valu un arrêt de travail.
Et vous qu’en pensez vous ?
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Posté par aucomptoirdesports le 19 février 2009
Nous évoquions hier le malaise ambiant qui sévit dans l’athlétisme français en raison de l’absence de D.T.N. Aujourd’hui, nous en avons la parfaite illustration avec l’affaire Hurtis. Revenons sur les faits…
Désormais, les sprinteurs prétendant à une place au sein des relais sont obligés de participer à tous les rassemblements (environ 14 jours dans l’année) sous peine de voir leur participation aux épreuves individuelles remise en question. Vincent Clarico tient à ce que cette règle soit respectée quelque soit l’athlète concerné(e). Les états de services de Muriel Hurtis pour le relais français ne comptent donc pas plus que çà aux yeux de la fédération. Jacques Piasenta,quant à lui, estimant qu’il » a passé l’âge d’être l’esclave de la fédération » (L’Equipe du 19 février 2009), menace de se séparer de son athlète car cela nuit à la planification et au bon déroulement de ses entraînements. Certainement une façon de mettre la pression sur la fédération, mais cette mesure ne mettra pas son athlète dans les meilleures dispositions psychologiques.
Une fois encore, c’est l’athlète qui se retrouve au centre d’une « guéguerre » pour le moment stérile. Elle aimerait maintenant que » la fédération fasse un effort et soit moins rigoureuse « . Espèrons pour Muriel Hurtis que ses performances lui accorderont ce fameux passe-droit. Il serait dommage de se priver d’une athlète aussi expérimentée qui a toujours beaucoup donné pour sa nation. Mais bon, rappelez vous qu’à une époque pas si lointaine, Djhone et Raquil n’avaient pas accès aux installations de l’INSEP, que des coachs non issus du sérail ne se voyaient pas attribués d’accréditation lors des derniers championnats… Autant de lutte de pouvoirs, de prise de décisions qui semblent aller à l’encontre de la réussite de nos athlètes.
C’est dans ces moments-là, que l’absence d’un patron qui taperait du poing sur la table, se fait cruellement ressentir.
Mais à part çà tout va bien….
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Posté par aucomptoirdesports le 18 février 2009
Nous pouvons légitimement nous poser la question tant il y a des longueurs dans la désignation du futur DTN. L’athlétisme est donc le seul sport dont la saison a déjà commencé et qui n’a pas encore de directeur technique national. Vous conviendrez que cela fait un peu tâche pour une discipline qui a connu un échec cuisant (1 médaille) lors des derniers jeux olympiques.
Mr Amsalem veut « un patron d’équipe à côté d’un sélectionneur national qui aurait la même influence ». Il a donc décliné les candidatures de Quenéhervé, Gergès et Krumbholz fortement recommandés par B. Laporte. Mais, c’était couru d’avance tant l’actuel président de la fédération avait claironné qu’il voulait quelqu’un d’extérieur au sérail. Le D.T.N doit connaître le haut niveau, mener une politique de fomationet développer la pratique. Et dans ce rôle, c’est Lemercier (directeur de la jeunesse et sport en Aquitaine) qui semblait tenir la corde. Refus catégorique du ministère. Aujourd’hui, le président de la FFa déclare que « l’on perd du temps. On va faire chou blanc. Je vais évidemment réclamer un profil comparable à celui de Lemercier » (L’Equipe du 17 février 2009). Qui a tort ? Qui a Raison ? Impossible de savoir à court terme. Mais une chose est acquise. Aucune des 2 parties n’agit pour le bien de l’athlétisme français. Du côté de la fédération, on aurait pu éviter cette perte de temps en ne recueillant pas ces candidatures dont on savait fatalement l’issue. Alors que du côté de l’Etat, il semblerait que l’on freine le processus uniquement pour des histoires de « gros sous ».
L’athlétisme français est plongé dans une léthargie ambiante. A l’approche des championnats de France Elite et des Europe en salle, il n’y aplus personne pour gouverner le navire et donner une ligne directrice claire et des objectifs cohérents à l’ensemble des athlètes français.
Mais à part çà tout va bien…
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Posté par aucomptoirdesports le 13 février 2009
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Posté par aucomptoirdesports le 13 février 2009
En raison des vacances, le blog va tourner au ralenti mais rien ne vous empêche de continuer à déposer vos commentaires et même envoyer des sujets dans « la boîte à débats. » Ceux-ci ne manqueront pas d’être traités..
Maintenant, il faut choisir…
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Posté par aucomptoirdesports le 12 février 2009
Qui suis je ? Un mix entre Brice de Nice et Johnny Halliday, j’aime « gueuler » sur mes nageurs, j’aimerai bien m’investir dans un club de foot, et surtout j’adore les marcels, je suis….. Philippe Lucas. L’entraîneur de natation le plus connu de France vient de se faire licencier après une énième sortie médiatique où il a traité ses anciens employeurs de « pipes ». Celui qui a mené Laure Manaudou au sumum de la natation mondiale est désormais personne non grata dans le sud de la France. Il fallait s’y attendre. Son sale caractère, ses nombreux conflits avec la fédération et ses écarts verbaux ont fini par en lasser plus d’un. Mais peut-on se passer d’un entraîneur de sa trempe ?
Par rapport à Laure Manaudou
Tous les spécialistes de la natation s’accordent à dire que le potentiel de notre championne s’est révélé très tôt. Elle a dominé toutes les catégories d’âge avec une aisance terrible. Est ce que Philippe Lucas qui l’a hébergé chez lui de nombreuses années ne l’aurait pas « cramé » en lui imposant des cadences infernales à l’entraînement ? Impliquant ainsi une certaine usure mentale et physique (mal d’épaule récurrent). Le devoir d’un entraîneur, c’est aussi de responsabiliser son athlète et de l’amener à être autonome. Il serait fort intéressant de le voir réussir avec des nageurs ayant un potentiel de base moins élevé.
Par rapport à ses athlètes actuels
Quid de Potec, Alekseeva, Berglund, Rousseau, Fabre qui se sont montrés solidaires de leur entraîneur ? Continueront-ils à s’entraîner à Canet ? Cette perpétuelle agitation autour de leur entraîneur ne finira t’elle pas par les lasser ? La sérénité est un élément essentiel dans la préparation physique et mentale des athlètes (et de surcroît au plus haut niveau).
Philippe Lucas est loin de laisser indifférent. Difficile de parler de ses méthodes de travail (nous ne sommes pas nageurs). Par contre, il pouvait se permettre des joutes verbales tant que Manaudou gagnait. A partir du moment, où elle a commencé à echouer, « l’armure » de Lucas s’est effritée. Aujourd’hui, les clubs ne se bousculent pas pour récupérer l’entraîneur aux cheveux longs. Pourtant nul doute que sa présence attirerait les médias mais pour quelle exposition ….
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Posté par aucomptoirdesports le 12 février 2009
Avant de parler de la prestation des bleus face à l’Argentine. Revenons juste sur la première question de David Astorga à Raymond Domenech, « Que vous êtes vous dit avec Maradona ? ». Excuse nous David, mais le plus important c’était quand même la prestation médiocre de l’Equipe de France. Les questions suivantes étaient vraiment basiques. Quand on sait que Raymond choisit ses interlocuteurs, il ne fallait certainement pas le heurter. De plus, pas un mot sur les sifflets. Et pourtant dans les 10 dernières minutes, l’équipe de France s’est fait copieusement siffler et chambrer à base de « olés »(on ne parlera pas de la sortie d’Anelka et la rentrée de Benzema littéralement conspués). Si cela s’était passé au Stade de France, le public parisien en aurait pris pour son grade. Mais là, les journalistes auront du grain à moudre avec cette nouvelle défaite des bleus qui ont été dominés dans tous les secteurs combativité, engagement, techniques, tactiques. Mais nous avons surtout vu une grande différence entre un sélectionneur qui guide son équipe en donnant de la voix et en arranguant ses joueurs (qui sont prêts à donner leur vie pour lui) et un sélectionneur qui laisse le soin à son adjoint (Bruno Martini) de donner les consignes à Benzema. Tout un poème… Maintenant, il faut essayer de se remémorer depuis quand l’équipe de France n’a pas remporté un match face à une grande équipe.
PS: A l’heure où je termine cet article, un journaliste de l’afterfoot à l’accent méridionnal a déclaré que le public marseillais avait sifflé car c’était un public de connaisseurs……
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Posté par aucomptoirdesports le 11 février 2009
Diego Armando Maradona a débarqué sur la cannebière déclenchant l’hystérie des fans. Rien que la prononciation de son nom électrise les foules. Le dieu vivant du football est à Marseille ! Pourtant tout le monde connaît son passé dans la drogue, le dopage (coupe du monde 1994), ses relations avec le sulfureux Fidel Castro. Mais aucune importance pour tout ce petit monde venu acclamer l’idole. Pour certains comme V. Moscato cet « homme avait un talent exceptionnel et le fait qu’il ait fait des con….. en faisait juste un homme et qu’il fallait passer outre car qui n’avait pas fait de bêtises dans sa vie. » C’est vrai mais la question n’est pas de savoir si l’on doit pardonner mais pourquoi accorde t’on tant de crédit à quelqu’un qui a certes beaucoup donné pour le peuple argentin et pour le football mais qui n’a pas été un exemple en dehors.
D’ailleurs, depuis quelques jours, on constate l’ampleur du phénomène car on ne parle pas beaucoup du match amical qui va opposer la jeune vague argentine aux Ribéry, Henry, Benzema et consorts. On ressasse le passé. Les images de la coupe du monde 1982 et 1986 repassent en boucle. Toutes ces histoires, c’est plutôt bien pour les jeunes qui n’ont pas connu cette époque. Mais sa présence occulte totalement la présence de joueurs prodiges annoncés comme kun Agüerro ou encore Leo Messi (qui n’aurait pas du jouer cette rencontre !). Or ce sont eux les stars d’aujourd’hui et de demain.
Maradona est certainement l’un des joueurs les plus talentueux de tous les temps. Ses frasques auront certainement contribué à l’avènement de cette légende vivante. Aujourd’hui, comme avant, il déchaîne les passions. Et tant mieux ! Car dès que l’on évoque son nom, on parle football, jeu, amour du maillot, autant de valeurs qui semblent désuettes aujourd’hui. Mais personne ne doit oublier la façon dont il a terni son image. A ce titre, mon incompréhension demeure lorsque je vois les gens le glorifier. Tout le monde ne peut pas prendre le même recul pour dissocier le joueur de l’homme qu’il a été. Mais quel joueur ! Espèrons pour l’Argentine qu’il sera la transfigurer pour l’amener vers les sommets.
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